Autour du PEF – Épisode 3 : US Rioz-Etuz-Cussey

Publié le 08/12/2016

Le troisième épisode de notre série « Autour du PEF » est consacré à l’entente Rioz-Etuz-Cussey. Benjamin Billery, responsable du Programme Éducatif Fédéral à l’USREC, nous évoque comment est géré cet outil avec les jeunes licenciés de son club Haut-Saônois. 

Monsieu Billery, quelles sont vos fonctions à l’US Rioz-Etuz-Cussey ?

J’ai été employé en tant que service civique au club. Aujourd’hui, je suis principalement responsable du PEF, et je m’occupe également de la catégorie U11.

L’outil principal du PEF est un classeur en version papier, mais il existe également une plateforme numérique, la connaissez-vous ?

Oui je suis allé la voir à plusieurs reprises, mais je la juge moins pratique que le classeur papier. J’arrive plus facilement à l’utiliser afin de réaliser mes actions sur le terrain, même si cet outil numérique peut être bénéfique.

Au sujet de ces actions, avez-vous une planification spécifique afin de les mettre en place ?

J’ai un calendrier que je tente de suivre, avec une action par mois et par catégorie de jeunes. On a également des stages de foot lors des vacances scolaires, et sur la durée de ce rassemblement, j’essaye d’instaurer une action par jour en lien avec le PEF. Je fais également en sorte de varier les sujets, en utilisant tous les thèmes proposés (Fair-play, environnement…)

Pouvez-vous nous en citer quelques-unes ?

Lors d’un stage de foot, nous avons fait une initiation au tri des déchets. Il y a également une action que l’on réitère assez fréquemment qui consiste en un Biathlon. Le principe consiste à mélanger la pratique (conduite de balle…) à des questions sur le thème du PEF. Pour les trouver, on utilise soit les Incollables qui sont fournis dans le kit, ou alors les questions qui sont présentes dans le thème « Culture Foot » de ce même classeur.

Aujourd’hui, est-ce que vous jugez cette aide fédérale indispensable afin d’avoir un programme éducatif solide ?

Bien entendu, le classeur, je me base constamment dessus. Il me donne plus de motivation et plus d’outils afin de renouveler nos actions éducatives. Je pense qu’on pourrait réaliser moins d’interventions sans cette aide.  

 

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